Tout freelancer ne peut pas travailler rentablement sans fixer une tarification adéquate. Une faculté de négociation lui sera fructueuse. Les clients ont la possibilité de proposer des contrats oraux ou écrits. D’où, la vigilance est de mise pour le travailleur indépendant. Voici le guide pour bien gérer sa facturation et son engagement dans le freelance.
Le tarif horaire ou journalier en mode freelance
Les travailleurs en freelance proposent souvent une tarification au temps nécessaire à la réalisation d’une mission. Une évaluation tarifaire par les clients s’impose dans ce cas. Comme il est quelques fois impossible de déterminer le temps exact pour effectuer une tâche, certains rédacteur web freelance demandent la coopération de l’employeur. Lorsqu’il atteint le montant de facturation maximal ce dernier l’avertira de si tôt.
Ce travail indépendant n’est pas souvent soumis à la TVA. Il reste nécessaire que les freelancers mentionnent dans leurs factures : « TVA non applicable – article 293 B du CGI ».
Tarification freelance au forfait
Certains travailleurs indépendants facturent leur tâche au forfait. Autrement-dit, ils fixent eux-mêmes un tarif global pour une fonction donnée. Cette formule est idéale surtout pour les missions répétitives. La plupart des rédacteur web freelance chevronnés proposent une facturation au forfait. Pareillement, les spécialistes en maintenance de poste informatique, les concepteurs de charte graphique ou bien de logo optent pour ce mode de tarification.
Toutefois, le salarié est tenu s’en tenir au « temps passé ». Il est obligé de bien prédéfinir le temps de travail pour ne pas ressortir perdant. En fait, chaque contrat de mission passe toujours par une négociation entre freelancer et client. Si le laborieux ne parvient pas à évaluer rationnellement la facturation, il gagnera moins qu’il ne le mérite. Il se doit alors de présenter plus de précisions dans la rédaction du contrat.
Certains métiers libéraux se soumettent nécessairement à des obligations légales dans le cadre de factures, à l’exemple : des infirmières, des notaires et huissiers de justice.
Rédiger son contrat de mission
Le rédacteur web freelance n’est pas le seul censé avoir une notion en matière de réalisation de contrat de mission. Tout travailleur indépendant en est concerné.
Les freelancers cherchent leur mission et négocient sur la facturation. Ils peuvent travailler sous un contrat écrit ou s’engager avec un accord verbal.
L’accord verbal en freelance
Si un client décide de confier un travail à un professionnel indépendant, après un commun accord sur le prix, il a le choix entre un contrat écrit ou oral. Toutes ces pratiques sont légales. Toutefois, pour éviter des problèmes ultérieurs, il reste essentiel de retranscrire sous forme d’un e-mail les décisions prises concernant le prix, le délai de réalisation et la nature de la mission. Cette correspondance est utile, car elle laisse une trace de la convention. Le courrier de confirmation de la part du client servira de protection en cas de litige.
Contrat écrit
Avant de s’occuper de la rédaction web SEO d’un site, l’écriture d’un contrat de mission est l’idéal. Celui-ci doit contenir les clauses restrictives de non-concurrence, l’interdiction de plagiat, d’exploitation ultérieure des conceptions ainsi que les cessions des droits d’auteur.
